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| Posté le 07-03-2004 à 17:50:04
| C'est long je sais mais ça vaut le coup, Témoignage de Teresa Preston, habitant Suffolk en Virginie : << Mon mari était susceptible de rentrer à n'importe quelle heure. Au moment où le bateau rentrait au port, Jackson commençait à donner des signes d'excitation, allait à la porte et demandait à sortir. La plupart du temps, il allait s'asseoir au bout du trottoir et fixait la direction d'où il savait que surgirait la voiture. Il était devenu tellement imbattable qu'il m'était impossible de ne pas le remarquer et je me basais parfois sur ce signal pour me remaquiller avant le retour de mon mari ! Si j'étais en train de préparer le dîner et que je m'interrogeais sur le nombre de couverts à mettre, je me fondais sur ce pressentiment et agissais en conséquence. >> Témoignage du Général Charles West ( New-York ) et de son épouse : << Nous habitions au 4 ème étage d'un immeuble et chacun de nous rentrait à des heures différentes, venant de directions elles aussi différentes. Ni la nounou ni notre petit garçon ne savaient quand nous allions arriver ; pourtant, 10 à 15 minutes avant notre retour, le chien s'excitait beaucoup, se précipitait à une fenêtre et fixait la rue ; il gémissait de bonheur et remuait la queue comme un fou. La nounou savait ainsi toujours que l'un de nous allait rentrer : ce qui lui permettait de dire en plaisantant qu'elle était avertie du moment où il fallait baigner l'enfant avant le retour des parents. Ce comportement de notre chien (un Kerry-blue-terrier) n'était pas occasionnel ; il s'est répété jour après jour, semaine après semaine, pendant des années. >> Témoignage très étonnant de Joseph Duller, de Graz en Autriche : << Mon beau-père possédait une petite ferme et un chien de garde nommé Sultan. Un jour, il est tombé malade et on l'a emmené à l'hôpital en ambulance. Il y est mort peu après et a été enterré au cimetière communal, à 5 kilomètres de la ferme. A quelques semaines de là, le chien a disparu pendant quelques jours. Cela nous a paru curieux parce que Sultan n'était pas fugueur ; nous n'étions pas spécialement inquiets. Un dimanche, un ancien employé de la ferme qui vivait à côté du cimetière est venu nous rendre visite. " Imaginez-vous, nous a t-il dit, que l'autre jour, en traversant le cimetière, j'ai trouvé Sultan couché devant votre caveau de famille ! " Je n'ai pas réussi à comprendre comment il avait trouvé son chemin tout au long de ces 5 kilomètres, alors qu'aucune trace de pas de son maître n'avait pu le guider. Et il n'était jamais allé au cimetière auparavant, pas même dans les champs alentour puisque son travail consistait à garder la maison. Comment a t-il bien pu trouver la tombe de son maître ? >> Témoignage très troublant de Christine Vickery de Sacramento en Californie : << Le soir du 1 er décembre, mon mari (un mordu de la forme, 52 ans, très costaud) est rentré à 18 h 30 comme à son habitude. Au lieu de courir pour l'accueillir, mes chiens Smokie et Popsie sont restés dans leur panier dans une autre pièce. Il les a appelés. Ils n'ont pas bougé. A 21 heures, les chiens sont venus dans le living et se sont assis à ses pieds en le regardant fixement. Il était troublé et se demandait (comme il l'a dit ensuite) "ce qu'ils savaient et que je ne savais pas". Ce curieux rituel s'est poursuivi les 5 jours suivants. Dans la nuit du 6 décembre, le plus vieux des chiens, Smokie, est venu caresser la jambe de mon mari avec sa truffe ; Popsie lui a donné sa patte. A 1 h 30 du matin, le 7 décembre, mon mari est mort dans son sommeil. J'enviai mes chiens. Ils l'avaient su et lui avaient dit au revoir. >> Témoignage très émouvant de Jane Penney, vivant en Cornouailles : << Un jour, alors que ma chienne dormait profondément, j'ai pensé : " Réveille-toi et apporte-moi ta balle bleue et nous irons jouer dans le jardin." Maggers s'est réveillée, elle est allée vers la bassine dans laquelle sont rangés ses jouets et s'est mise à fouiller à la recherche de la balle bleue (qu'elle n'aime pas beaucoup) ; elle me l'a apportée et s'est dirigée vers la porte arrière (non, elle n'avait pas envie de faire pipi). Une autre fois - c'était vers la fin de sa vie - je suis tombée à cause de ses jouets qu'elle avait laissés traîner partout (je n'ai pas un bon équilibre et je suis arthritique). Je n'ai rien dit (la pauvre bête dormait), mais j'ai pensé que ç'aurait été bien si elle avait pu les ramasser. Lorsque je suis redescendue, elle était couchée au milieu du living à côté de la bassine à jouets où ils étaient tous rangés ! >> Témoignage très troublant d'un aveugle : Mike Mitchinson, de Bath : << Je marchais avec mon chien-guide vers un magasin situé à 20 minutes à pieds de chez moi. Au croisement de la rue, je me revois me disant mentalement : " Il ne faut pas que j'oublie mon rendez-vous chez le dentiste à 10 heures jeudi (nous étions lundi)." Et je continuais mon chemin, en confiance, sans savoir vraiment où nous étions. Imaginez ma surprise quand j'ai été entraîné sur la gauche et que j'ai senti crisser le gravier sous mes pas. Nous étions chez le dentiste ! >> Autre témoignage troublant d'un non-voyant : John Collen, de Southend-on sea : << Un matin, je passais par une rue commerçante en pensant que l'après-midi j'irais chez l'épicier acheter quelques pommes, lorsque je me retrouvais justement chez l'épicier ! Le chien m'y avait conduit. J'ai dit au marchand que je n'avais fait que penser à entrer dans la boutique parce que je n'avais pas envie de me trimbaler avec des pommes et que je reviendrais dans l'après-midi, mais que le seul fait d'y avoir pensé avait suffi à Pedro. >> Autre témoignage d'un non-voyant : Peter Neely, de Kummock en Ecosse : << Quand je travaille avec Sam, le labrador noir, mon chien-guide depuis 2 ans, je me dis qu'il existe entre nous, sans aucun doute possible, une communication télépathique parce qu'il sait d'avance où je veux aller. Il est capable d'anticiper lorsqu'en cours de route je change d'idée. Je crois que quand vous êtes propiétaire d'un chien-guide, et qu'en plus vous adorez les chiens, il se crée une sorte de lien, un cordon ombilical invisible entre vous et l'animal à travers lequel voyagent vos sentiments et les siens. Certaines personnes diront que la pression que vous exercez sur le harnais change et que c'est cela que ressent le chien, mais franchement je ne crois pas que c'est ce que je fais. >> Autre témoignage d'une non-voyante : Sarah Craig, de Bridgend : << Paxton, un labrador noir, est mon 2 ème chien. Il m'a fallu 2 ans pour m' habituer à lui. J'ai effectivement, plusieurs fois le sentiment qu'il est capable de capter des signaux que je ne donne pas consciemment, des ordres que je n'ai pas formulés. Si je pense : " Nous devrions tourner à droite tout de suite." , eh bien nous tournons à droite, même si je n'ai rien dit. Il devine beaucoup de choses que je pense ou que je sens. J'ai parfois voulu le mettre à l'épreuve, et j'ai délibérément songé à prendre telle ou telle direction dans ma tête tout en allant le plus droit possible. Et malgré ça, il a tourné là où je pensais. Mais ce n'est systématique. A certains moments, il est davantage à l'écoute qu'à d'autres. Parfois, il est distrait, ou alors c'est moi qui ne pense pas assez clairement et qui ne lui donne pas des instructions mentales suffisamment précises. >> Les chiens qui ressentent la mort à distance : Témoignage de Stephen Hyde, de Londres : " Pendant la guerre, mon frère était copilote à bord d'un bombardier Wellington. En 1940, il a effectué plusieurs raids au-dessus de l'Allemagne. A cette époque, nous avions un chien nommé Milo , mi-épagneul mi-colley , qui aimait particulièrement Michaël ; une nuit de juin, au retour d'une mission, celui-ci a donné sa position par radio : il survolait la côte belge et allait bientôt rentrer. La même nuit, Milo, qui dormait dans l'étable adossée à la maison, a tellement hurlé que ma mère a dû se lever et le faire rentrer. Michaël n'est jamais rentré à sa base et a été porté disparu le 10 juin 1940. " Témoignage de Madame G. Moore, de St. Albans dans le Herefordshire : " En avril 1968, mon mari et moi étions en vacances dans le comté de Cork, en Irlande. Mon mari est mort subitement le samedi de Pâques. Agé de 7 ans, notre caniche était resté chez des amis à St. Albans. Juste après minuit, le chien s'est mis à hurler et a grimpé précipitamment l'escalier pour retrouver mon amie qui prenait son bain. Très exactement à la même heure, mon mari est décédé. " Témoignage d' Iris Hall, de Cowley, Oxford : Cet épisode se situe au cours de la guerre des Malouines et plus de 10 000 kilomètres séparent le chien de son maître : " Mon fils, qui était très proche de notre terrier blanc du West Highland, s'est engagé dans la Royal Navy en 1978 ; la plupart du temps basé à terre jusqu'en 1982, il rentrait régulièrement par le train pour les week-ends. Nous nous sommes progressivement rendu compte que le chien commençait à donner des signes d'excitation 20 à 30 minutes avant qu'il ne passe la porte ; dès que l'animal se mettait à faire des allées et venues itempestives vers l'entrée, je préparais donc un bon goûter car mon garçon arrivait toujours affamé. A l'époque, cela nous faisait rire. En avril 1982, le HMS Coventry - sur lequel servait notre fils - a appareillé vers les Malouines. Au début de la soirée du 25 mai, le chien, geignant et frissonnant, a grimpé sur mes genoux. Quand mon mari est arrivé, je lui ai dit : " Je ne sais pas ce qui lui arrive, il est comme ça depuis plus d'une demi-heure et ne veut pas quitter mes genoux." Aux informations de 21 heures, on annonça qu'un bâtiment de type 42 avait été coulé. Nous savions qu'il s'agissait du HMS Coventry, bien que le nom du bateau n'ait pas été rendu public avant le lendemain. Notre fils comptait parmi les disparus. Notre petit chien a dépéri et est mort quelques mois plus tard. " Témoignage du Docteur Max Rallon, de Chateauneuf-le-Rouge, en France : " J'ai un berger de Beauce, femelle nommée Yssa, âgée de 2 ans et arrivée en France avec moi à l'âge de 3 mois. Elle venait de l'île de la Réunion, située dans l'océan Indien à 10 000 kilomètres de la Métropole, et où j'avais laissé sa mère Zoubida, âgée de 10 ans. Le 13 février de cette année-là, Yssa dormait dans la chambre de mon fils. Vers 3 heures du matin, elle est venue gratter à ma porte ; geignant et pleurant, elle était très agitée et ne voulait pas quitter ma chambre. Mon beau-frère a téléphoné de la Réunion à 9 heures du matin. Le gardien de la maison avait retrouvé Zoubida morte, empoisonnée. " Les chiens qui savent quand ils vont aller se promener : Témoignage de Mme R. Kellard, de Abington dans le Northamptonshire : " En raison de mes obligations professionnelles et familiales, je promène mon chien Digby selon des horaires très variables, mais il semble toujours savoir d'avance quand je pense à le promener. Il est tranquillement couché, alors que moi, je vaque dans la maison et me dis : " Je vais terminer ceci ou cela, puis je sortirai Digby." C'est précisément à ce moment qu'il se lève et me suit partout, la queue frétillante et le regard interrogateur. De ma gestuelle ou mes pensées, je ne sais ce qu'il lit. Il peut s'écouler une demi-heure avant que nous allions enfin nous promener, mais il parvient à savoir que cette pensée est encore dans mon esprit. Il ne me quitte ni des yeux ni des semelles. Ce comportement m'a toujours sidérée (et agacée, car je me laisse toujours prendre). Je continue à me demander : " Comment fait-il pour savoir ? " Témoignage de Liliane Hoschet, de Cessange au Luxembourg : " Je ne parviens tout simplement pas à comprendre comment mon chien Ginny - un bâtard avec qui je cohabite depuis sept ans - peut savoir quand je vais le promener avec ses deux autres congénères. Il me suffit d'y penser pour qu'il se redresse et manifeste sa joie. Je me dois de préciser ici que nos animaux sont libres d'aller où et quand ils veulent dans notre propriété. J'ai réalisé cette expérience plusieurs fois avec Ginny. Afin d'éliminer toute possibilité de contact visuel et d'indice d'ordre sensoriel, j'avais laissé le chien dans le jardin, fenêtres et portes closes, puis m'étais mise à penser à le promener. Le résultat est chaque fois identique : il devient fou de joie et d'impatience. Il reste cependant d'un calme olympien lorsque je me prépare à partir au travail. Mes deux autres chiens ne réagissent pas comme lui. " Témoignage de Mary Rothwell, d'Arnold, près de Nottingham : " Que je sois en train de m'activer ou non, que je sois simplement en train de faire de la couture ou de cuire une brioche, et que cette seule pensée : " Va te promener. Emmène les chiens. Il fait beau dehors", me traverse l'esprit, voilà que mes teckels sont à mes pieds et remuent la queue. Comme ils dorment ou se trouvent dans le jardin lorsque cette pensée me vient, il ne leur est pas possible de déduire la moindre information de mon expression ou de mes mouvements. J'ai délibérément effectué cette expérience. Une fois que la pensée me vient à l'esprit, mes chiens le savent, quoi qu'ils soient en train de faire à ce moment." Témoignage de Dieter Eigner, de Powelltown, Victoria, en Australie : " Ma femme et moi sortons à des heures irrégulières, pour faire des courses, par exemple. En général, nous emmenons le chien avec nous en voiture. Avant le départ, l'animal s'assied généralement près du hayon afin de grimper à l'arrière du véhicule. Si je sors de la maison avec l'intension de partir, le chien s'y précipite ; mais si je sors avec les clés du véhicule à la main dans la simple intension d'y prendre quelque chose, il ne réagira pas. Aujourd'hui même, alors que nous prenions notre petit déjeuner, ma femme a déclaré son intension de faire des courses dans les 5 minutes suivantes. En regardant par la fenêtre de la cuisine, j'ai aperçu le chien : il était déjà assis près du hayon, face à la porte de la maison et dans une position d'attente. A cet instant, je n'avais encore ni quitté mon domicile ni eu de contacts antérieurs avec l'animal. A notre connaissance, absolument aucun élément physique ne pouvait lui avoir indiqué que nous étions sur le point de sortir."
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| Posté le 07-03-2004 à 17:52:29
| vOICI EN PLUS SUR ROBERT SHELDRAKE QUI A MENE TOUTES CES EXPERIENCE ET TEMOIGNAGE Durant 5 ans, Rupert Sheldrake, scientifique mondialement connu, Docteur en Sciences Naturelles à l'Université de Cambridge et chercheur titulaire à l' Institut des Sciences Noétiques de Californie, a enquêté sur certains pouvoirs apparemment inexpliqués qu'auraient les animaux, il a effectué des centaines de tests et d'expériences sur des animaux, des chiens notamment et des perroquets, tout se déroula selon un protocole scientifque rigoureux, tout fut filmé, noté minutieusement, durant ces 5 ans, Rupert Sheldrake a reçu des milliers de témoignages dont il a pris soin pour beaucoup d'entre eux de vérifier les sources d'informations, de se déplacer, d'enquêter auprès des propriétaires, des maîtres-chiens de la police criminelle, auprès des aveugles, des vétérinaires, etc.... Jamais auparavant un tel travail scientifique n'avait été effectué avec autant de sérieux. Certains chiens très attachés à leurs maîtres semblent avoir la capacité d'anticiper avec joie leur retour en se mettant devant la porte d'entrée ou en regardant par la fenêtre en remuant la queue et en fixant du regard la grille d'entrée donnant accès au garage, attendant la voiture de leur maître.... Bien sûr, les premières objections faites à ce type de comportement sont que les chiens agiraient par habitudes, à des heures précises, ou flaireraient tout simplement leurs maîtres rentrant à la maison. Or, même si cela peut être le cas dans certaines fois, ces hypothèses ne tiennent pas la route, scientifiquement parlant, car les maîtres-chiens de la Police criminelle affirment que les chiens ne peuvent flairer un être humain à plus d' 1, 6 Km et à la seule condition qu'à une telle distance le vent souffle dans la bonne direction. Or, de nombreux chiens se mettent fous joyeux devant l'entrée ou la fenêtre donnant au garage 10 à 20 minutes avant l'arrivée de leurs maîtres, alors donc que ceux-ci se trouvent en voiture à plusieurs kilomètres de chez eux et sur le chemin du retour à la maison. L'hypothèse selon laquelle les chiens agiraient par de simples habitudes ne tient pas la route non plus, car de très nombreux témoignages proviennent de propiétaires de chiens ayant des professions où ils peuvent rentrer chez eux à n'importe quelle heure, tels que des représentants, des médecins, des infirmières, des hôtesses de l'air, des avocats, etc.... Rupert Sheldrake, en bon scientifique intelligent, ne s'est pas contenté de milliers de témoignages reçus, mais a fait ses propres expériences chez certains propriétaires qui ont voulu collaborer à ce travail scientifique, plusieurs caméras étaient placées dans leur maison à des endroits très précis où le chien attendait joyeux son maître et à l'endroit même où le maître arrivait à la maison, à pieds ou en voiture. Ces expériences ont duré sur plusieurs mois, les scientifiques fixaient eux-mêmes le moment où le maître devait commencer à prendre son véhicule (ou parfois en bus ou en taxi) à des heures chaque fois différentes et à des moments différents de la journée (matin, après-midi et soirs), et le bilan de ces résultats fut plus qu'étonnant : un très fort pourcentage de résultats probants fut obtenu, le chien commençait à se placer aux endroits précis où il attendait son maître à partir du moment où son maître commençait lui-même à prendre la direction de sa maison.... Le chien, lié affectueusement par la pensée à son maître, semblait télépathiquement savoir à quel moment précis son maître se décidait à rentrer ! Il y a quelques années de cela, j'ai moi-même vu à la télévision Française un reportage sérieux sur ces expériences faites et on voyait bien l'attitude du chien attendant son maître à partir du moment où l'ordre fut donné au maître de prendre la direction de sa maison. Et comment expliquer ces animaux qui, perdus ou abandonnés à des centaines de kilomètres de chez eux parfois, parviennent seul à retrouver leur chemin ? Ce fait est réel et je connais moi-même un tel cas d'un chat qui suite au déménagement de ses maîtres à 30 Kms de là (en région Parisienne en plus ! ) prit aussitôt la fuite pour finalement revenir à son ancien lieu d'attachement, sa maison où il avait ses bonnes vieilles habitudes et où les voisins qui le connaissaient bien le reconnurent et avertirent les maîtres du chat de son incroyable retour... 1 mois après sa disparition ! Les animaux semblent dotés d'un réel 6 ème sens auquel la Science officielle, du moins certains scientifiques ouverts et intelligents, commencent à s'y intéresser de près... Voici quelques exemples tirés du livre remarquable : " Les Pouvoirs inexpliqués des animaux" de Rupert Sheldrake, aux Editions J'ai Lu ( 444 pages : 7 Euros ) :
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